Commission de recrutement des Moniteurs du 29 septembre 1999

Mercredi 29 septembre 1999

Ordre du jour

BB : Je n'étais pas convoqué à cette réunion, et n'y ai donc pas participé.

Compte-rendu

Les membres du CA restreint (les enseignants) était invités à cette commission, je me suis senti bien seul : l'assemblée était très majoritairement constituée de directeurs de DEA et d'UFR.

Le vice-président Hervé Bossart introduit la réunion en disant qu'un travail a déjà été mené par les écoles doctorales pour classer les candidats au Monitorat (voir le document numérisé). Il ajoute que Lille I est habituée à avoir beaucoup de postes de moniteurs et que c'est en train de changer car les Universités nouvelles font des demandes pour pallier aux probables mouvements d'enseignants induits par les départs en retraite (les MdC des Université nouvelles allant remplacer les PR partis en retraite dans les Universités plus anciennes).

C'est au tour du directeur du CIES, Maurice Porchet, de prendre la parole. Il indique que les CIES viennent d'être expertisé par l'inspection générale et fait un discours de politique générale :

BB : C'est exactement ce qu'il avait dit lors d'un séminaire sur l'évaluation organisé par le CIES en fin d'année dernière. C'est un peu un leitmotiv depuis qu'il est arrivé à la tête du CIES l'année dernière. Au moins il est tenace !

Après la politique générale le directeur du CIES indique que l'USTL reçoit 84 postes de moniteurs cette année (et pas 90 comme prévu à cause d'un problème de ligne budgétaire). Dans ces 84 postes sont inclus les postes de moniteurs normaliens. Le directeur insiste sur le fait que les postes de moniteurs normaliens acceptés par les laboratoires sont déduits des postes globaux alloués à l'UFR correpondante.

Les différentes sections sont ensuite examinées :

Le directeur du CIES rappelle que les moniteurs doivent sévir en premier cycle. Il concède que l'on peut déroger à cette règle (dans les écoles par exemple) mais qu'il faut pas exagérer (des moniteurs ne font aucun enseignement en premier cycle). Il dit aussi que le rôle de tuteur doit être pris plus au sérieux et reconnu (le directeur de thèse ne peut être tuteur).

Il semble que rien n'interdit aux étrangers d'être moniteurs (le directeur va se renseigner). Les allocations de recherche peuvent être données aux étrangers ayant fait leurs études supérieures en France. Il semble que pour les Européens de l'Est la contrainte des études en France peut être relaxée.

La liste des moniteurs est votée à l'unanimité.

Xavier REDON