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CA du 26/1/20010 |
CA de l'USTL
| CA restreint du 16/3/2001
]
Vendredi 9 février 2001 à 13h30
Compte-rendu
Le conseil a commencé à 13h30 avec un conseil restreint (aux enseignants).
La salle s'est remplie vers 14h (je dis vers car le président n'a pu venir
que vers 14h30) et le conseil a duré jusqu'à 19h30. On ne comptait alors plus
que 12 personnes présentes ...
Ce conseil restreint concernait la distribution des primes, des mouvements
d'enseignants-chercheurs et la composition des Commissions de Spécialistes
(CSE).
- Primes :
Il s'agit de voter sur l'attribution des primes de charges
administratives (PCA) et des primes de responsabilités pédagogiques (PRP).
Deux documents sont distribués avec la liste des personnes proposées pour
ces primes. Vous pouvez consulter la
liste
des personnes concernées par la PRP, je n'ai pas réussi à mettre la main sur
la liste pour la PCA, ces documents ont été distribués au compte-gouttes.
Le vice-président du personnel Hervé Baussart et le vice-président du CEVU
Patrick Caron donnent quelques informations :
- Lors d'une cessation d'activité, la prime est donnée au prorata
de la durée de l'activité dans l'année.
- Le conseil a déjà validé une liste de fonctions ouvrant le droit
aux primes, cette liste n'est pas exhaustive. Les primes peuvent
être converties en décharges (sous réserve d'acceptation par
l'équipe dirigeante et de ne pas effectuer d'heures complémentaires).
- La décision d'accorder ou non la prime est prise par l'équipe
dirigeante au vue des avis des directeurs de composantes. Les deux
vice-présidents remercient les directeurs de composantes pour leurs
avis qu'ils ont trouvé particulièrement clairs cette année.
- Quelques chiffres : le volume financier des primes a augmenté de
90KF par rapport à l'année dernière, il y a eu 163 demandes donc
25 demandes de plus que l'année dernière principalement en provenance
de l'IUT et de l'EUDIL (on note un rééquilibrage au sein de ces
composantes qui font que la somme des taux n'augmente pas
exagérément). Parmi ces 163 demandes 118 sont des renouvellements.
Suite à des interventions de Michèle Vespérini et Marie-Thérèse Pourprix
d'autres informations sont données :
Les deux listes des personnes proposées à la PCA et à la PRP sont votées
à l'unanimité moins 2 abstentions et moins 4 abstentions. Je n'ai pas
noté quelle liste a provoqué 2 abstentions et quelle liste en a provoqué
4.
XR :
Je ne me suis pas abstenu, pas fou je suis sur la liste pour une PRP a
taux plein. D'ailleurs c'est amusant, pas mal de votants pour cette
liste ont une prime, je vois mal comment elle peut ne pas passer ...
- Mouvement d'enseignants-chercheurs :
Voir la
feuille
listant les demandes de mouvements. Un petit rappel pour
dire qu'un détachement est la méthode de mouvement la plus favorable à
l'université : le demandeur est payé par le site d'accueil et l'USTL
peut utiliser le support du demandeur comme bon lui semble. Une délégation
article 14-a contraint le demandeur à assurer son service d'enseignement à
l'USTL et une délégation article 14-c ne prévoit qu'une compensation
financière pour assurer l'enseignement (par exemple dans le cas traité la
compensation est de 70KF).
Toutes les demandes sont votées à l'unanimité.
- Renouvellement des CSE :
L'équipe dirigeante présente le cadre du renouvellement des CSE qui a été
auparavant débattu en conseil scientifique (CS). Il s'agit du regroupement
des sections au sein des commissions et du nombre de membres de ces
commissions. Vous pouvez consulter les
documents
distribué avant le conseil. Deux points sont un peu discutés : l'absence
de proposition pour la sixième section et la scission de la commission
25-26 en deux commission distinctes.
En ce qui concerne la sixième section deux représentants de l'IAE commencent
à se crêper le chignon en CA jusqu'à qu'Hervé Baussart indique que la
proposition du président est de réunir TOUS les IAE pour se faire une idée.
En fait le problème est de choisir entre une commission à 12 ou 20 membres.
XR : Mon sentiment est que certains trouvent qu'avec une commission à 12
membres ils peuvent un peu plus verrouiller les décisions de l'IAE mais il
faut être très prudent quand on avance un jugement à propos de l'IAE ...
Quand à la scission de la commission 25-26 Hervé Baussart explique qu'il
y a eu un long débat en CS. Le CNRS est pour une commission mixte mais les
25 trouvent que la scission permettra aux CSE de travailler dans un cadre
plus normal que le cadre actuel où il faut créer des sous-commissions et
où le rôle de la CSE se borne à approuver les décision des sous-commissions.
La proposition pour le renouvellement des CSE (hors sixième section) est
approuvée avec une voix contre.
XR : J'ai voté pour.
Donc arrivée du président Duveau vers 14h30, retardé par une conférence de
presse avec, si j'ai bien compris, le ministre de l'éducation nationale.
Justement au sujet de cette conférence de presse :
- Informatique et communication : Il a été dit que 60
chercheurs et techniciens CNRS et 20 INRIA seront distribués prochainement
dans les laboratoires de l'USTL (principalement l'IEMN, le LIFL et le CERLA).
Enfin bon, il y en aura aussi de distribués à l'Artois, au Littoral et à
Valenciennes. Et puis au cours de la conversation on apprend que ce personnel
sera peut-être plutôt dans des bâtiments à la Haute Borne.
- Physique et biologie : Il devrait y a voir 113MF d'investissement
avec des constructions près de Lille I. Un contingent de 10 chercheurs et
techniciens et de 10 post-docs devrait suivre.
- Sécurité routière et ferrovière : Investissement de 40MF à
Valenciennes.
Un autre sujet abordé : la cour des comptes. Les principaux reproches
sont sur les points suivants :
- procédure budgétaire et dépassement des crédits (DBM unique),
- reports de crédits automatiques sans remise en commun,
- pas suffisamment de marchés publics,
- positionnement par rapport à la MACC,
- pas de procédure globale pour la formation continue (FC).
Comme le sujet de la FC est abordé on reparle du CUEEP et de son nouveau
directeur Jacques Claudel.
Intervention : Bruno Beaufils demande comment les chercheurs CNRS et INRIA vont
s'intégrer à l'USTL.
Réponse : Ils s'intégreront via les UMRs. Il va vraiment venir 40 CNRS et 20 INRIA
sur 6 ans.
XR : Donc pour les 60 chercheurs ci-dessus il faut lire 60 chercheurs dont
20 INRIA ?
Intervention : Un représentant des AITOS rappelle que le CA n'est pas public mais
qu'il existe des invités non permanents qui sont devenus permanents et que
c'est pas une situation très claire.
Réponse : Effectivement les directeurs des services communs et des composantes
sont invités aux CA (et d'autres personnes que je n'ai pas eu le temps
de noter). Le président propose de marquer la différence dans la salle entre
élus et invités. Il faut peut-être aller plus loin en faisant en sorte que
la prise de parole des invités ne soit plus automatique.
Deux interventions préliminaires : une du responsable du SUDES et une
du nouveau directeur du CUEEP Jacques Claudel.
De la présentation du SUDES je retiens que le SUDES a été crée comme un
"chapeau" au-dessus du CUEEP pour la gestion des contrats, la tarification,
etc. Ce n'est pas un lieu de formation, c'est une interface pour les
composantes de l'Université. Voici quelques activités du SUDES :
- Gérer les retours à l'Université (après un parcours professionnel).
- Répondre à la demande des entreprises.
- Vendre l'expertise du SUDES en terme d'ingénierie de la formation.
Un long discours de Jacques CLaudel sur le CUEEP (arrivé le 2/1/2001).
Il a trouvé dans le CUEEP un outil unique au niveau de l'ingénierie
de la formation (développement d'outils de formation), de la formation
de formateurs, de la formation à distance, etc. Une fois de plus, le fait
que le CUEEP vise un public de faible niveau de qualification est pointé
du doigt comme la principale raison de son déficit financier. En effet
les financements publics pour des formations de ce type sont en chute
libre (normal avec le bac pour 80% d'une tranche d'âge). La politique
du CUEEP est de délaisser ce public pour se concentrer sur l'aspect
ingénierie de la formation. Jacques Claudel affirme que le personnel du
CUEEP a beaucoup de compétences mais absorbées par la recherche plutôt
que mises au profit de l'établissement lui-même. Il faut donner un sens
au CUEEP, on apprend que le CUEEP est pour l'instant scindé en quatre
centres et qu'il n'y a pas de tradition de travail en équipe.
Vous pouvez lire la
feuille d'information du CUEEP
distribuée aux membres
du conseil.
Intervention : Que faut-il comprendre par la phrase "effort sur le nombre du personnel"
que vous avez prononcé ?
Réponse : Il faut diminuer les actions sur les faibles niveaux. Jacques Claudel
affirme qu'il n'envisage pas de licenciement. Pour les formateurs pour
les faibles niveaux de qualification il faut soit les reverser sur les
formations NTIC, les redistribuer sur l'Université, etc. Il y a encore
des secteurs où l'enseignement pour les faibles niveaux de qualification
est rentable.
Intervention : Comment le SUDES arrive à fonctionner dans un contexte où le CUEEP se
retrouve en difficulté ?
Réponse : Le président indique que le CUEEP doit payer des salaires sur ses fonds
propres alors que le SUDES tourne uniquement avec des fonctionnaires.
Le responsable du SUDES met en avant les financements complémentaires
que le SUDES obtient par son expertise en ingénierie de la formation.
Le président donne quelques chiffres : le CUEEP c'est 46MF pour la formation
continue soit la moitié de la FC de Lille I et c'est 55 emplois gagés soit
les trois quarts des emplois gagés de Lille I. Le CUEEP fait des formations
que l'USTL n'est pas habilitée à donner. Le CUEEP est surdimensionné en terme
de personnels, on peut soit accepter de les financer (mais les composantes
ne devront pas se plaindre qu'elles ne reçoivent pas suffisamment d'argent),
ou on dégraisse. On doit se poser la question : est-il possible de
réduire la voilure sans licenciement ? Il est envisagé d'envoyer des personnels
au rectorat. Il y a aussi une politique de non-renouvellement des contrats.
Intervention : Ce qui semble paradoxal c'est de dire que le CUEEP est surdimensionné
alors que les personnels se plaignent d'être surchargés de travail.
Réponse : J'ai retenu deux chiffres donnés par Duveau : dans les organismes
de l'éducation nationale donnant les mêmes formations que le CUEEP
(les GRETA) les enseignants ont une charge de 800 heures, les
enseignants du CUEEP ont obtenu une situation plus enviable : 540 heures.
Jacques Duveau nous informe des grandes lignes politiques qui vont
constituer le contrat quadriennal 2002-2005.
XR : Heu ... pas grand chose à noter, le président lit ses notes en
énumérant les numéros des différents points. Le problème c'est que j'ai
entendu cinq fois parler d'un point numéro 2, trois fois d'un point numéro
3, ...
Les grandes tendances sont : la baisse du nombre d'inscrits, le problème
de la différence de la situation suivant les composantes, le retard de la
recherche en région, la nature des financement (le FEDER se terminant
dans 5 ans, il faudra aller chercher des financements ailleurs).
Voici quelques autres bribes saisies au vol :
Deux points sont à l'ordre du jour concernant la refonte des statuts :
l'évolution de la gestion des ressources pédagogiques par une structuration
en services communs et le projet de création d'un centre polytechnique
universitaire (CPU).
Concernant le premier point, le président a mandaté le directeur du CIES
pour réfléchir sur une nouvelle
organisation des services communs d'enseignement. La présentation repose
sur deux transparents illisibles à moins de 2 mètres. J'en retiens qu'il
faudrait faire disparaître les composantes par secteur au profit de
directions d'études pour y rattacher les DEUGs car ils deviennent de
plus en plus multi-disciplines. J'ai aussi noté que l'avènement du
multi-média doit réduire l'enseignement classique par cours, TD et TP
en cendres dans les prochaines années.
Plusieurs interventions pour dire que c'est pas très clair et que ça risque
de multiplier les casquettes sans apporter grand-chose. Les étudiants eux
ont tout compris et manifestent leur accord.
De toute façon il s'agit juste de lancer le débat.
Concernant le CPU : il faut un flux de plus de 250 étudiants par an pour
pouvoir constituer un CPU, l'intérêt de former un CPU est la taille est
importante pour la visibilité au plan international. Il y a eu 4 réunions de
la commission des statuts. Une entité appelée IESP est invitée à entrer
dans le CPU, il s'agit d'une formation d'Ingénieurs d'Exploitation des
Systèmes de Production. C'est une école sans murs créée par un ensemble
d'industriels voulant donner le titre d'ingénieur à ses cadres. L'USTL
a été sélectionnée pour délivrer ce diplôme. L'IESP est d'accord pour entrer
dans le CPU à condition de garder son autonomie. Le président a consulté
des représentants des étudiants et affirme leur attachement à l'USTL. Les
étudiants veulent avoir une formation individuelle (pas de moule CPU), voire
pouvoir suivre des modules de l'USTL. Les étudiants souhaitent pouvoir être
acteurs de leur formation. De même les personnels AITOS souhaitent pouvoir
influer sur le CPU. Les statuts qu'il faut modifier sont ceux de l'USTL car
deux composantes (EUDIL et IAAL) disparaissent et le CPU apparaît. Les
statuts du CPU et son règlement intérieur seront discutés plus tard.
Intervention : Il faudra aussi tenir compte du fait que l'EUDIL et l'IAAL se trouvent
dans des secteurs différents (secteurs au sens votes pour les conseils,
par exemple). D'ailleurs le SGEN demandent officiellement la suppression
de ce découpage en secteur.
Il faut voter les nouveaux crédits, il s'agit de crédits de 2000 mais notés en
2001 (voir les
documents concernant la DBM).
Ils sont votés à l'unanimité.
On continue par les amortissements. Désormais l'USTL doit amortir
ses matériels. Présentation assez pédagogique avec des transparents explicatifs
non communiqués. Voici ce qu'un esprit réfractaire à la gestion a compris :
chaque année les sommes nécessaires pour l'amortissement des matériels doivent
être notées dans la ligne relative au fonctionnement. Donc, il faut faire
attention à garder des crédits de fonctionnement car le transfert de crédits
de fonctionnement vers des crédits d'investissement est possible mais ce
n'est pas réversible. Ces crédits d'amortissement peuvent être dépensés dans
l'année comme du fonctionnement normal ou être versés à l'investissement
pour faire des achats de nouveaux matériels. Il n'est absolument pas nécessaire
d'acheter des matériels de même type que ceux qui sont amortis. Il existe
deux types d'investissements : le linéaire et le dégressif. Le dégressif fait
baisser la valeur de l'objet plus vite que le linéaire. Par exemple pour
le matériel informatique il est intéressant de prendre un amortissement
dégressif car la durée minimale d'amortissement est de 5 ans ce qui fait
beaucoup. L'amortissement non utilisé dans l'année tombe dans les réserves
et il faut une DBM pour l'en sortir.
La méthode choisie pour l'USTL est l'amortissement linéaire (au moins pour la
première année) en prenant à chaque fois les
durées légales
minimales.
Cette décision est prise à l'unanimité moins une abstention.
XR : J'ai voté pour.
Il est aussi voté un report des crédits d'investissement en recherche
(c'est la dernière année du quadriennal ce qui explique, paraît-il, les
sommes importantes de ces reports). Reports votés à l'unanimité.
L'USTL demande enfin la permission d'accepter les paiements par cartes
bancaires (pour les inscriptions par exemple) et la permission de placer
l'argent non utilisé. Permission accordée à l'unanimité.
Une partie des
conclusions sur l'enquête
concernant l'aménagement du campus est disponible. Vous y trouverez les
deux hypothèses formulées et les résultats bruts des questionnaires étudiants
et personnels.
Bertin de Bettignies nous fait un discours sur l'aménagement du campus :
le campus n'est plus hors de la ville mais est un quartier de la ville,
il faut donner aux piétons et aux cyclistes une place qu'ils n'ont jamais
eu dans l'USTL. Le problème de l'USTL est que ses installations ont 35 ans
et que les réseaux enterrés commencent à lâcher (eau chaude, réseau des
éclairages, etc.). Il nous parle d'un problème d'appareil RMN au C4 qui
va prendre plus de place au sol que prévu. Il se demande quelle relation
l'USTL doit avoir avec la Haute Borne. Il nous refait aussi le coup des
deux solutions envisagées par l'atelier Ruelle pour la circulation dans
le campus et insiste sur la débilité du schéma avec des impasses pour
desservir le campus. Cela dit cette fois on apprend que la vraie raison
pour ne pas considérer le plan avec les impasses vient du fait que l'équipe
dirigeante souhaite rétrocéder la voirie de l'USTL à la ville qui est
absolument opposée à cette solution (des quartiers entiers de Villeneuve
d'Ascq sont bâtis sur le principe des impasses et ça semble poser des problèmes
de circulation). Il est promis que le boulevard Langevin et les voies
intérieures seront aménagées en zone 30 (30km/h maximum). La ville demande
une numérotation des bâtiments du campus. BdB termine par un petit problème :
la construction de l'IUT oblige à la demande d'une dérogation car il est
interdit de construire à moins de 75 mètres du boulevard de Tournai.
Intervention : Le passage à 30km/h devant l'IUT et les restaurants vont provoquer
des bouchons.
Réponse : Il n'est pas envisageable de laisser les voitures foncer comme
actuellement.
Intervention : Les voies internes seront-elles en sens unique ? Quid du point noir
sur le plan de la sécurité du coté de quatre cantons ?
Réponse : Les voies seront à double sens mais étroites et sans stationnement.
Intervention : Un représentant de la ville de Villeneuve d'Ascq explique que le campus
est dans la ville et doit respecter les lois communes. Des investissements
comme le bâtiment culture n'a de sens que si l'USTL est un quartier de la
ville. Il se dit soulagé que l'USTL souhaite garder des espaces verts. Il
insiste sur le fait que le système des impasses n'a de sens que si le trafic
est limité à quelques voitures sinon c'est l'enfer. Il souhaite poser les
questions suivantes : y aura-t-il une ouverture du campus sur le boulevard
de Tournai ? sur la Haute Borne ? Est-il possible d'envisager des installations
sportives communes avec la Haute Borne ?
Réponse : Le président souhaite que Villeneuve d'Ascq prenne en charge la voirie
du campus car le budget voirie de l'USTL est trop important à son goût :
1,5MF par an. Il précise que cette rétrocession se fera dans le cadre
d'un contrat précis. Au sujet des trois questions il dit que l'ouverture
sur le boulevard de Tournai ne le convainc pas et qu'il faut par contre
se tourner vers la Haute Borne car les projets STIC se feront sur ce terrain,
car la chambre de commerce s'y trouve (ou s'y trouvera) et enfin car il
serait envisageable de faire des échanges de terrains avec des terrains de
la haute borne. Pour les installations sportives il n'y a pas de problème.
Intervention : Est-il possible d'avoir des équipements communs avec la ville (comme
des haltes-garderies) ?
Réponse : Il est question d'incorporer des espaces commerciaux dans la maison
des étudiants.
XR : Si, si c'est bien la réponse à la question : tu causes gamins on te
répond cigarettes ...
Intervention : Il va falloir plus marcher à pied
Réponse : Ça te fera du bien.
Intervention : Si la voirie du campus devient propriété de la ville il peuvent faire
ce qu'il veulent et en particulier un axe de traversée.
Réponse : Faut faire confiance aux politiques (dixit le président).
Il s'agit principalement de définir la composition du conseil du SUAPS :
8 étudiants (moins qu'avant mais mieux connus paraît-il), ajout d'un
représentant du SCAS comme invité permanent. Ajout d'un directeur adjoint
dans les statuts. Ça parle aussi des tarifs de mise à disposition au public
des installations sportives.
Dans les statuts le représentant de la ville fait changer un fragment de
phrase "affecté au domaine universitaire" en "affecté à l'USTL". On
regrette que l'ENCL ne soit pas considérée comme ayant droit aux installations
sportives. On répond que dans les faits ça se passe comme ça mais que l'ENCL
étant un établissement d'article 43, il n'est pas possible de l'écrire dans
les statuts.
Le changement de statuts est approuvé à l'unanimité des membres du
conseil présents et ça fait pas très lourd ...
Enfin une convention entre l'USTL et l'entreprise VALOSUP ainsi qu'un report
de bourse municipale de Violeta Felea vers Danièle Dudau (étudiantes roumaines)
sont votés à l'unanimité.
Xavier REDON
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