Compte rendu de la commission technologies du 2/2/2001 Objet de la réunion: Discussions sur la nécessité ou non pour l'université de faire son propre marché pour l'achat des équipements informatiques (serveurs, PC,…) plutôt que d'utiliser le marché CNRS Participation: 25 participants d'origines diverses (Services Financiers, DAM, Secrétariat Général, SEMM, BU, CRI, EUDIL, IUT, SUDES, FIL, laboratoires,...) Marie-Cécile RIEDI et Marie-Christine ROUSSEL ont fait un exposé très détaillé sur les règles et les contraintes de la réglementation des marchés publics. Il ressort, en particulier, qu'il est obligatoire de passer un marché pour les achats d'un montant supérieur à 300 KF TCC sur l'année pour un même type d'équipements. Ce montant devrait passer à 450 KF TTC prochainement. Il s'agit du seuil atteint par les commandes pour l'ENSEMBLE des services ou laboratoires de l'université. Il y a donc obligation de passer par un marché pour l'achat des équipements informatiques de l'USTL (serveurs, PC,….). Il s'agit dans ce cas d'un marché à bons de commande. La question de fond est : L'université utilise-t-elle le nouveau marché CNRS ou fait-elle un appel d'offres local ? Après 2 heures de discussions et d'échanges de points de vue et d'expériences, il apparaît qu'il faudrait au minimum 6 mois pour aboutir au démarrage d'un marché spécifique USTL (définition du cahier des charges, délais légaux pour les appels d'offres,…). L'avis général de la commission est qu'il est nécessaire d'utiliser le nouveau marché CNRS pour quelques mois, mais qu'il faut créer un groupe de travail. Ce groupe de travail aura 2 fonctions principales: - suivie du fonctionnement du nouveau marché CNRS (points positifs et négatifs, problèmes rencontrés,…) - réflexion et préparation d'un CCTP pour un éventuel appel d'offres si le marché CNRS s'avérait non satisfaisant ou insuffisant Ce groupe de travail doit être constitué de personnes compétentes sur le plan administratif (réglementation des marchés publics,…) et de personnes compétentes sur le plan technique. Il s'agit d'un groupe de travail et non pas d'une structure d'information. Il est donc nécessaire que les personnes le constituant participent de manière active et régulière aux réunions. Les personnes souhaitant participer à ce groupe de travail peuvent se faire connaître en répondant à ce mail.