UNIVERSITE DES SCIENCES ET TECHOLOGIES DE LILLE Secrétariat Général REUNION DU CARI DU 22 JANVIER 2001 ETAIENT PRESENTS : M. DERYCKE Vice-Président du CARI M. OPIGEZ représentant le Président M. BLONDEAU M. BOUGEARD M. CHAIMBAULT M. DOMON M. DUTHILLEUL M. FLIPO M. KREESAJ M. MORE M. NODOT M. SEGUINOT Me SION M. TEMPERMAN M. TINEL M. VIEVILLE M. WATTRELOT ABSENTS EXCUSES : Me DUTHILLEUL Me LANGLET M. REDON ORDRE DU JOUR : Présentation par M. CHAIMBAULT, Secrétaire Général, de la démarche de pilotage développée par l'AMUE . Questions diverses M. DERYCKE ouvre la séance à 10h10. Il informe le CARI que le Président souhaite participer à la prochaine réunion pour évoquer l'élaboration du contrat d'établissement et que 2 dates sont proposées. Celle retenue est le 14 février à 10h15 . M. DERYCKE rappelle que le CARI est tout à fait disposé à apporter sa contribution à l'élaboration du contrat, sachant que ce contrat doit être parvenu au Ministère pour le 31 mars prochain. Ensuite, préalablement au point prévu à l'ordre du jour, la parole est donnée à M. DUTHILLEUL qui veut exposer les difficultés rencontrées concernant les achats de matériels et consommables informatiques. En ce qui concerne les consommables, M. DUTHILLEUL déclare que l'EUDIL consacre 100KF à l'achat de cartouches d'encre compatible qui, lorsque l'on consulte internet, sont déclarées (revue ZDNet) de qualité égale celle des marques. Par contre le prix d'une cartouche d'encre d'une marque peut être parfois supérieur de 200% à une cartouche compatible. Avec le marché actuel, on ne peut se fournir qu'en cartouches de marque d'où l'obligation de prévoir une dépense supplémentaire évaluée à 45% ce qui conduit à budgéter environ 150KF au lieu des 100KF prévus. En matière de matériel, on constate aussi un surcoût de l'ordre de 20 à 25% en achetant ce matériel par l'intermédiaire du marché CNRS. L'administration n'ayant pas eu connaissance de la nature exacte de cette intervention manque d'élément pour répondre avec précision . Toutefois, M. OPIGEZ indique que s'il y a une difficulté par rapport aux cartouches compatibles , des dispositions seront prises pour permettre de satisfaire la demande. M. DERYCKE : Nous sommes un collectif d'usagers, il faudra s'approprier les marchés. Pour les matériels, il ne faut pas parler que prix machines, il faut aussi parler fiabilité, maintenance parce que le moins cher n'est pas nécessairement le plus rentable. M. BOUGEARD précise que la plupart des marchés ne fonctionnent pas nécessairement sur la règle du moins disant pour le matériel. Mais au niveau des consommables, si le marché n'a les a pas prévu , c'est une erreur. M. OPIGEZ reprécise que pour les compatibles des dispositions seront prises pour mettre en place un lot spécifique. Pour les matériels, l'idée est de lancer une procédure de marché pour le compte de l'Université. M. DERYCKE souhaite qu'une publicité la plus large possible soit faite pour que les personnels aient connaissance des marchés existants. Pour les consommables, il faut rechercher une solution pour satisfaire la demande. Pour les matériels, il faudrait qu'un groupe technique élargi travaille sur un cahier des charges. M. TEMPERMAN en prend note et propose une date de réunion pour le groupe Technologie : vendredi 2 février. LE PROGRAMME << PILOTAGE >> M. CHAIMBAULT présente au moyen de transparents, joints au présent compte-rendu, le chantier << Pilotage >> dans le cadre duquel des établissements travaillent sur un projet << Entrepôt de données >>. Lille1 a fait acte de candidature, mais pour l'instant, aucune action de communication n'a été faite au sein de l'Université sur cette démarche. A ce jour ,en accord avec la Conférence des Présidents d'Université (CPU), 3 domaines préférentiels ont été retenus pour l'extraction de données : évolution des emplois d'enseignants-chercheurs par rapport aux besoins de formation et de recherche Présentation synthétique des UFR L'attractivité internationale de l'établissement en matière d'offre de formation La présentation terminée, M. DERYCKE se pose la question de savoir si le CARI a un rôle à jouer dans le processus qui se met en place et d'autre part réaffirme qu'une bonne connaissance du projet est important pour se l'approprier. Là où se met en place ce genre de système, c'est un projet de grande ampleur qui demande une maîtrise de la qualité, de la fiabilité de l'information, il faut avoir le même référentiel, la même sémantique : cela est un vrai travail dont dépend le succès de l'opération. Un entrepôt de données, c'est un moyen de prévision, mais on y intègre pas que des données, on y met aussi de la << connaissance >>. Cela peut par ailleurs amener à se poser des questions dans le cadre de la réflexion sur le contrat : que devient l'OFIP: une structure complémentaire tournée vers la pédagogie ou en fait -on un outil à compétence plus large ? M. BARBEZ précise que le système de base de données retenu est ORACLE. M. DERYCKE propose que le CARI programme une séance pédagogique sur le thème : qu'est ce qu'une banque de données. M. VIEVILLE s'interroge sur les incidences pour les structures qui disposent d'outils en propre : peut-on fédérer ? M. BARBEZ répond que non dans un 1er temps, ensuite cela sera possible. M. DERYCKE : une ambition que nous pourrions avoir serait de faciliter la gestion avec notre environnement : par exemple avoir connaissance de toutes les relations que l'établissement peut avoir avec une entreprise, ce qui est complètement impossible actuellement . M. BOUGEARD : les tableaux de bord retenus le laissent perplexe. Pour qu'il y ait une prise en compte par l'établissement, il faut que cela soit discuté avec l'ensemble des éventuels utilisateurs. De plus, M. DERYCKE estime que pour que une utilisation optimale de l'outil, il faut que l'utilisateur final puisse formuler lui même sa requête et que d'autre part, cet outilne doit pas se résumer à quelques tableaux pour la Direction. Pour M. BARBEZ, il sera nécessaire de mettre en place un groupe de travail qui sera chargé de faire vivre l'outil. Ensuite, les membres n'ayant pas d'autres commentaires à faire, il est mis fin à la réunion. Jean-Paul Rogel